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1 avril 2021 4 01 /04 /avril /2021 15:12

Notre camarade Gérard Jamme est décédé le dimanche 21 mars 2021, des suites d'un AVC qui l'avait terrassé le vendredi 12 mars.
 

Adhérent du PSU, il avait fait partie de la Direction politique fédérale et du Bureau fédéral de la Fédération du Val d'Oise et était en fonction au moment de l'auto-dissolution du Parti.

Il avait été élu à la Direction politique du PSU au congrès de Bourg-en-Bresse (16e congrès, du 12 au 14 décembre 1986).

Il avait aussi fait partie de son « service de protection » (le « SO » du PSU).

Il a ensuite été membre des ATS, dont il gérait le blog.  

Syndicaliste CFDT dans la Fédération de la Métallurgie, il en avait longtemps animé l’union locale d'Argenteuil.

Lors de ses obsèques, les ATS étaient présents par une gerbe, de fleurs rouges évidemment, ceinte du ruban "Tes camarades des ATS".

En accord avec la famille, l'hommage suivant lui a été rendu :

"Bonjour… même si ce n’est pas un bon jour que celui où nous disons un dernier adieu à Gérard. Au nom des anciens du PSU, organisation d’où sont issus les Amis de Tribune socialiste, nous voulons témoigner des mots qui sont le plus revenus dans les messages de tristesse que nous avons reçus à l’annonce de sa disparition : « solide », « fidèle ».
Et tous les souvenirs sont remontés. Ils racontaient évidemment les luttes que nous avons menées, l’organisation des Fête du PSU et son engagement pour assurer la sécurité des camarades lors de manifestations politiques moins ludiques, plus offensives.
Ils disaient aussi est surtout les moments partagés entre copains, en particulier une mémorable escapade à Sainte-Croix-Vallée-Française pour un projet de chambres d’hôte.
Tous associaient Françoise et ses enfants, Gilles, Isabelle et Christine à son souvenir.
C’est le témoignage autant amical que militant que nous avons eu à cœur d'apporter car pour nous Gérard était plus qu’un camarade de luttes, c’était un bon camarade."

 

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28 juillet 2020 2 28 /07 /juillet /2020 17:59

ARTICLE PARU SUR LE BLOG DES AMIS DE TRIBUNE SOCIALIST

 

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Le mois d’août sera-t-il comme ça ?

 

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et la rentrée comme ça ?

Ce qui parait avéré, pour le moment c’est que, comme le pense Thomas Porcher, économiste atterré, « le monde d’après, c’est le monde d’avant en pire » (entretien dans AlterEco le 18/07/2020), et la rentrée risque d’être autant marquée par la crise économique et sociale que par l’épidémie de covid 19.

Mais dans ce contexte, la libération des esprits d’avec les dogmes économiques qui ont prévalu depuis 40 ans a laissé des traces et permet enfin d’espérer des changements radicaux de paradigme ; c’est ainsi que Thomas Piketty préconise désormais dans sa chronique au « Monde » « de tourner le dos à l’idéologie du libre-échange absolu qui a jusqu’ici guidé la mondialisation, et d’adopter un nouveau modèle de développement fondé sur des principes explicites de justice économique et climatique. Ce modèle doit être internationaliste dans ses objectifs ultimes mais souverainiste dans ses modalités pratiques, au sens où chaque pays, chaque communauté politique doit pouvoir fixer des conditions à la poursuite des échanges avec le reste du monde, sans attendre l’accord unanime de ses partenaires La tâche ne sera pas simple, et ce souverainisme à vocation universaliste ne sera pas toujours facile à distinguer du souverainisme de type nationaliste. Il est d’autant plus urgent de préciser les différences. »

Dans ce contexte aussi , il n’est pas inintéressant de constater que les idéologies remettant en cause l’ordre établi se renouvellent et « percent » le mur de la confidentialité qui les entourait jusqu’alors ; c’est ainsi qu’un quotidien comme Libération ( 24/07/2020) a consacré deux pages entières à la théorie du « convivialisme » et à la notion de « buen vivir » prônées depuis longtemps par notre ami Patrick Viveret. Ces idées avaient donné lieu  à une réflexion collective de l’ITS en janvier 2018 - à l’initiative de Michel Mousel - à propos du texte fondateur « Archipel citoyen : Osons les jours heureux », adopté le 30 novembre 2017 à Villarceaux par plusieurs dizaines d’organisations dont Alternatiba, Emmaus, Dialogues en humanité, ATTAC, Negawatt, le CTC, le CRID, le collectif Roosevelt, Utopia, le CAC, Vigilobb, l'université du bien commun, sol, MFRB, Amnesty international, le pacte civique, 4D, etc.

 

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Vendredi 2 octobre

1ère rencontre ITS sur les archives PSU 

9h/13h : Présentation des fonds d’archives sur le PSU détenues par l’ITS et d’autres centres d’archives ; création d’un réseau sur les archives PSU 

Inscription préalable nécessaire à l’ITS 40 rue de Malte 75011 Paris 

ou par courriel à   archives@institut-tribune-socialiste    

Après-midi (sur demande) : visite du Centre Jacques Sauvageot 

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22 avril 2020 3 22 /04 /avril /2020 17:32

Le confinement :
une occasion de repenser notre modèle de société

 

L’après-épidémie :
Ne pas redémarrer
pour tout recommencer comme avant

En 1971 commence à être publiée une bande-dessinée qui devient un film en 1973 : L’an 01. Dans ce récit haut en couleurs des utopies de cette période, la population décide de tout arrêter – production, travail, école, etc. - et de se mettre à réfléchir à ce qui doit être redémarré ou pas. Les usines de voiture ? Les fabriques de pâtes ? Les grands magasins ? les grandes fermes industrielles ? Dès les premières pages de la bande-dessinée, le ton est donné : il faut arrêter ce mode de vie qui n’a plus de sens et qui mène la planète à la catastrophe.

Aujourd’hui, nous n’avons pas choisi de nous arrêter. Mais, comme au début des années 1970, le non-sens – ou plutôt le contre-sens – de ces modes de vie et de production, la catastrophe vers laquelle ils nous amènent, nous invitent à notre tour à ne plus vouloir redémarrer sans savoir ce qu’il faut redémarrer, ce qu’il faut transformer et ce qu’il faut arrêter absolument.

La tentation – en particulier d’une réponse « de gauche », mais pas seulement – est, comme dans l’après seconde guerre, d’une grande « relance ». La tentation est d’autant plus grande qu’elle apparaitrait comme une victoire face à l’orthodoxie européenne austéritaire qui impose aux Etats de ne pas dépasser les 3 % de déficit budgétaire annuel.

Si la crise du Covid-19 va être le drame de millions de morts, de blessés, de chômeurs dans le monde, la reprise économique pourrait être un nouveau drame : celui, après une baisse massive des émissions de CO2 pendant la pandémie, d’un effet rebond où la relance de l’économie ferait exploser les émissions de gaz carboniques. Pour autant, cette relance - parce qu’elle resterait dans le cadre d’une économie mondialisée dans un sens ultra-libéral et productiviste - reproduirait les mêmes impasses qu’avant la crise. Elle ne prendrait pas à bras le corps combien - comme l’a encore montré cette crise - le souci de l'autonomie individuelle va de pair avec la consolidation des liens sociaux et institutionnels. Elle pourrait s’accompagner, pour « lever les freins » à la croissance, de nouvelles remises en cause du droit du travail, des dispositifs de solidarités collectives, des contraintes environnementales, sans compter les limitations aux libertés publiques. Elle serait anti-sociale, anti-écologique et liberticide. Nous refusons d’être mis devant ce fait accompli.

Lire la suite texte et la liste des signataires

Entre les deux il n’y a rien ?
Jeter des ponts concrets entre aujourd’hui et demain

Par Ludivine Bantigny
Mediapart.fr et dans la revue Contretemps
16 avr. 2020 

 

Ce texte est né d'un enthousiasme, d'un espoir et d'une frustration. Enthousiasme devant le foisonnement des solidarités. Espoir devant tant d'affirmations que «rien ne sera comme avant». Frustration devant le manque de maillons entre l’urgence et le «monde d’après». Contribution à une très vaste discussion collective dont nous avons vraiment besoin.

Dans son récit plein d’espoir, de force et de rage, Entre les deux il n’y a rien, l’écrivain Mathieu Riboulet évoquait celles et ceux qui « posent leurs intelligences, leurs cœurs et leurs corps au milieu du chemin pour que le cours des choses dévie[1]. » Que le cours des choses dévie : plus que jamais, nous en éprouvons aujourd’hui non seulement l’envie, mais la nécessité. Cet incroyable temps en suspens met en crise les certitudes les plus établies et les préceptes les plus chevillés. C’est un moment historique, au point que certains le perçoivent comme le vrai début du siècle[2]. Printemps 20 : un tournant du temps. Qu’en ferons-nous, collectivement ?

D’ores et déjà une foisonnante intelligence en acte se déploie. Les luttes ne cessent pas. On l’a vu dès les premiers exercices du droit de retrait, les grèves, les propositions d’actions, la vaste collecte de témoignages pour documenter la situation et fédérer la défense des droits. Le confinement n’est pas un écrasement et les injonctions à l’« union sacrée » ne dupent pas. Le « Circulez y a rien à voir » ne sera jamais de saison, pas plus que les assignations : à approuver, se taire, s’aligner. Nos capacités critiques sont intactes, comme notre force de riposte.

Deux pôles se forgent dans cette ébullition, qui ne sont pas sans lien. D’abord, il y a les plans d’urgence, les appels dont l’importance est immense sur ce dont nous avons besoin sans attendre, ici et maintenant : pour les services publics de la santé et du soin, contre les attaques faites au droit du travail, contre les violences exacerbées, policières et sécuritaires, en solidarité active avec les personnes les plus touchées. Et puis il y a les élaborations fécondes, puissantes, fortes de leur savoir et de leurs savoir-faire, sur ce que pourrait être « le monde d’après ». Face à un capitalisme destructeur et mortifère, face aux inégalités vertigineuses que la crise sanitaire révèle à plein degré, comment ne pas aspirer à une société qui en serait débarrassée ? Car quels que soient nos mots d’ordre et nos slogans, dans le capitalisme nos vies vaudront toujours moins que leurs profits.

Lire le texte dans son intégralité

 

Demain: le retour de la question de la dette publique

Avec une chute de croissance de 7 à 10% la dette publique va atteindre des sommets, on parle de 110, 115, 120% du PIB. Bien sûr dans ce monde où l'argent est roi il va nous être demandé de grands sacrifices pour la rembourser.
La REMBOURSER ? mais pourquoi ?

 

Michel Rocard dévoile le pot aux roses

Dans une interview donnée à Europe 1 le 22 décembre 2012 Michel Rocard nous rappelait d'où vient cette dette. Il pose le problème de sa légitimité.

 

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Jean-Luc Mélenchon, dans son blog, explique en détail pourquoi et comment il faut annuler la dette des états.

Pourquoi et comment
annuler la dette des États européens ?

Annuler la dette publique des États pour leur redonner une capacité d’intervention comme investisseur, est-ce possible ? Comment se déroulerait une telle opération ? Puisque nous défendons cette thèse, je me propose de l’exposer plus en détail. Avant de le faire, je fournis quelques considérations générales à propos de la dette dont j’espère qu’elles éclairent mon propos ensuite. Je dois cependant prévenir : tout ce qui est proposé ici reste dans le cadre des traités européens et des lois en vigueur. Cela ne veut pas dire que je les approuve, ni que je les crois indépassables. Tout au contraire. Mais notre proposition est un plan d’urgence. Il veut éviter les discussions de principe qui clivent ou buttent sur la seule force d’inertie des récalcitrants au gouvernement allemand ou des Pays-Bas. Bon, j’expose. D’abord une balade dans les mots en circulation à propos de la dette. 

Lire le texte dans son intégralité

 

Les deux livres qu’auraient dû lire
et mettre en pratique nos gouvernants

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Dans ces deux livres parus l’un en 2005 (« Pandémie la grande menace») et en 2009 ("grippe A (H1N1) tout savoir comment s’en prémunir"), Jean-Philippe Derenne (ancien pneumologue à la Pitié-Salpêtrière (1) et ses co-rédacteurs décrivent les menaces pandémiques et les manières de les gérer ; le Canard Enchaîné s’est fait en début de mois l’écho du premier d’entre eux sous sa forme caustique habituelle :

Le livre de 2005 qui planifiait la crise ...

On ne compte plus les experts en tout genre affirmant aujourd'hui qu'il était possible de mieux anticiper la pandémie. En dehors des documents du Secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale, cependant, la trace de leurs travaux est ténue. Un bouquin, en revanche, se démarque par son caractère visionnaire : << Pandémie, la grande menace de la grippe aviaire >> (Fayard) a été écrit en 2005 - alors que la menace du H5Nl planait - par les professeurs Jean-Philippe Derenne et François Bricaire, respectivement pneumologue et infectiologue, à l'époque, à la Salpêtrière.

Si la plupart de leurs suggestions pour faire face à un méchant virus sont actuellement appliquées, elles l'ont parfois été avec un retard inexpliqué. Outre la fermeture des écoles, lycées et universités, les deux profs préconisaient notamment la sécurisation rapide des pharmacies et autres lieux de stockage des médicaments. Quant au confinement, ,, l'idéal serait que chacun reste chez soi, écrivaient-ils, mais il n'existe pas d'alternative à la fermeture de tous les magasins d'alimentation ».

Lire l'article du Canard Enchainé dans son intégralité

(1) Jean-Philippe Derenne a été membre du PSU et directeur-gérant de « Tribune Etudiante », le journal des étudiants du PSU.  

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3 mars 2020 2 03 /03 /mars /2020 15:45

Edouard Philippe veut interrompre par le coup de force du 49-3 tout débat sur une loi retraites rejetée par 60% des Français. Il prétend interrompre « le non-débat » parce que les députés de gauche d’opposition bloquent la vie parlementaire. Mais c’est le monde à l’envers ! Qui a utilisé la procédure d’urgence pour une loi qui prétend changer « le contrat social » depuis le Conseil National de la Résistance ? Qui est pressé de passer par-dessus la mobilisation populaire depuis trois mois, par-dessus l’opinion publique, par-dessus le Conseil d’Etat, par-dessus la conférence de financement que le gouvernement a lui-même mise en place jusqu’en avril ? Qui interdit tout débat en promulguant une loi qui donne tout pouvoir pour rédiger 29 ordonnances sur des questions essentielles ?

Nous sommes face à un pouvoir verticaliste, autoritaire, qui ne peut tolérer qu’un parlement puisse mettre en cause sa manière de gouverner. Le néolibéralisme autoritaire, dont Macron est la personnification, c’est le passage en force.

C’est pourquoi, aux côtés des organisations syndicales et du mouvement social, il convient que toutes les forces de la gauche et de l’écologie appellent à manifester pour la démocratie. Construisons l’unité de la riposte politique contre Philippe-Macron.

 

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3 mars 2020 2 03 /03 /mars /2020 15:30
affiche GREEPEACE
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30 novembre 2019 6 30 /11 /novembre /2019 13:29

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Université des Savoirs Associatifs

Cycle de rencontres autour d'un ouvrage

 

À quoi sert la philanthropie ?Richesse privée, action publique ou mobilisation citoyenne ?

 

Mardi 3 DEC 2019 – 18h45 – 75010

 

Cette seconde séance de la toute nouvelle "Université des Savoirs associatifs" du CAC se fera autour de la rencontre avec Didier Minot pour la présentation de son livre À quoi sert la philanthropie ? Richesse privée, action publique ou mobilisation citoyenne ? paru en octobre 2019 aux éditions Charles Léopold Meyer. Voir la présentation du livre ICI

 

Lieu : le centre social « le Paris des Faubourgs » au 12 rue Léon Schwartzenberg – 75010 Paris (gare de l’Est) – VOIR ICI l’accès  (difficile à trouver sans le plan)

 

Heure : accueil à partir de 18h45 - début 19h

 

Les discutantes / discutants : Gregory JURADO de l’association les cercles et membre du CA du CAC ; Philippe MAYOL, directeur général de la fondation Terre Solidaire ; Tarik .OUAHRIA, président de la Fédération des Centres Sociaux de Paris.

 

Le principe de notre Université des Savoirs associatifs : proposer des rencontres régulières tous les 2 mois, gratuites, autour de l’actualité bibliographique d’ouvrages traitant de l’évolution du monde associatif. Un format d’environ 2 heures avec : 1/ introduction et contextualisation,  2/ présentation par l’auteur lui-même du propos qu’il développe dans son livre, 3/ puis un premier temps d’échange avec 3 discutant.e.s (responsables associatifs exposant la manière dont ce propos fait écho à leurs propres pratiques et réflexions) et enfin 4/ un 2ème temps d’échange avec la salle.

Avec la possibilité pour l’auteur de tenir une table de signature et la proposition faite aux participant.e.s de se revoir les semaines suivantes pour une session d’arpentage (lecture collective de l’œuvre).

 

Sur notre site le programme depuis octobre (1ère séance avec JL Laville au Cnam, avec la vidéo et les liens) et les rdv prévus en 2020.

 

     

 

INSCRIPTION gratuite et obligatoire

https://oxi90.com/GHDURSI79/visuel_UniSavAssBIS_-_copie_5dac1eacce.jpg

 

A propos du Collectif des Associations Citoyennes


Le CAC est né en 2010 et se donne 3 principaux objectifs:

  • Lutter contre la marchandisation de l'action associative.
  • Permettre aux associations de participer à l'action publique.
  • Défendre la participation des associations à la construction d'une société solidaire, durable et participative.

 

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22 octobre 2019 2 22 /10 /octobre /2019 17:00
Newsletter Université d'Ensemble! 2019 -  www.ensemble-fdg.org
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Au Cap d'Agde, du 31 octobre au 3 novembre, on met le feu !


Avouons-le, on n'était pas loin de s'inquiéter : 31 octobre-3 novembre, n'était-ce pas trop tard ?
Les sujets préparés ne seraient-ils pas refroidis par l'automne ?
Aujourd'hui, si nous sommes inquiets c'est au contraire parce que l'actualité nous submerge de sujets brûlants !
Cette Université nous offre l'opportunité de nous donner les moyens d'en débattre...
Des exemples, parmi beaucoup d'autres sujets inscrits au programme.
A 300 kms de notre l'Université, la Catalogne, face à une répression qui rappelle les heures noires du franquisme, de nouveau se soulève...
Le Moyen-Orient est en feu. En Algérie, la confrontation entre le Hirak et le pouvoir appuyé à l'armée se tend de jour en jour... Urgence donc à discuter avec des spécialistes de l'état du monde, tels Bertrand Badie et Sophie Bessis, et avec des militantes et militants impliqués dans ces situations à hauts risques.
Autre zone de tempêtes : le Brésil et l'ensemble de l'Amérique latine... C'est chaud, pour des causes climatiques, mais pas seulement !
Quant au climat, et plus généralement les défis écologiques, pas difficile de se convaincre qu'il faut s'y intéresser ! La jeunesse du monde le crie de plus en plus fort...
Dans l'Union européenne et en France même, on ne s'ennuie pas !
Le feuilleton du Brexit touche à sa fin, mais quelle fin ? Deal or not deal ? Les extrêmes droites jettent
une ombre brune sur nos sociétés, les gauches radicales sont-elles en capacité de relever le défi ? Et de relayer les mobilisations sociales en cours : celles des Gilets jaunes, dans la santé, pour défendre les
retraites et la Sécurité sociale...


Alors ce serait trop bête de s'en priver : rendez-vous au Cap d'Agde !
On y retrouvera Geneviève Legay et bien d'autres camarades pour étudier, ensemble !, et discuter sérieusement de toutes ces questions, et d'autres encore...

 

Newsletter Université d'Ensemble! 2019 -  www.ensemble-fdg.org
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7 octobre 2019 1 07 /10 /octobre /2019 16:02

 

 

 

 

 

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N° 74 - 7 OCTOBRE 2019

 

VIENT DE PARAÎTRE

 

LA RÉPUBLIQUE CONTRE LA MONARCHIE

 

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L'ASSASSIN DE THOMAS SANKARA MIS À LA PORTE

 

LE GENRE COMME RAPPORT SOCIAL

 

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L'AUTOMNE EN JAUNE

 

DÉJÀ PARUS

 

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NOVEMBRE

 

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NOVEMBRE

 

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DÉCEMBRE

 

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4 octobre 2019 5 04 /10 /octobre /2019 14:10
 PARIS SAMEDI 12 OCT

 

 

 

 

 

 

INVITATION SAMEDI 12 OCT

 

Pour cette JOURNÉE NATIONALE DE MOBILISATION ASSOCIATIVE, le CAC propose 2 temps à Paris ouverts à toutes et tous (sur inscription) :

9h30 – Atelier « Comment rendre efficaces des espaces de dialogues associations/collectivités territoriales ? – exemple de Paris » CAC/FNE 75 – Paris 11

14h30 – Conférence inaugurale de L’UNIVERSITÉ DES SAVOIRS ASSOCIATIFS avec JL Laville – Paris 3

     

 

S'inscrire ICI (gratuit)

 

PROGRAMME DETAILLE

 

9h30 – Atelier de travail « Comment rendre efficaces des espaces de dialogues associations/collectivités territoriales ? – exemple de Paris » CAC/FNE 75 – Paris 11


« Du point de vue des associations citoyennes, que faut-il mettre en place pour que les espaces de dialogue permanent entre associations et collectivités territoriales fonctionnent de manière satisfaisante ? »

 

Réflexions ciblées en vue de la mise en place du Conseil Parisien des Associations (CPA) prévu dans le cadre de la charte locale d’engagements réciproques ville/associations.

 

Lieu : Chez Peuple et Culture – 108 rue St Maur 75011 Paris – bâtiment C fond de cours – (métros : Parmentier/St Maur/Couronnes) – merci de vous inscrire pour avoir les codes d’accès

 

Contexte : La signature en juillet 2019 de la charte des engagements réciproques entre la ville de Paris et les associations parisiennes est venue conclure, provisoirement, une première phase de dialogue… En en prévoyant une autre, notamment par la mise en place (prévue dans la charte) du CPA (Conseil Parisien des Associations).

 

Objectif de l’atelier : Pour l’heure, tout est à définir concernant les règles de fonctionnement de ce CPA et c’est une chance ! Ainsi, avant ses premières réunions à l’automne 2019, il semble intéressant de proposer aux associations qui le souhaitent un temps de travail, entre elles, permettant de préparer les échanges futurs avec la mairie de Paris en ayant déjà porté une réflexion collective sur le fonctionnement à venir du CPA.

quelles sont les conditions de réussite d’un dialogue constructif dans une telle instance ?

quelles seraient les écueils à éviter ?

comment créer les conditions d’une véritable prise en compte de la parole, des savoirs, des expériences associatifs (et que signifie donc « véritable » prise en compte?)

sur quelles expériences s’appuyer pour construire des points de vigilance efficaces évitant des dérives possibles (dérives qui sont à identifier)

sur quelles expériences s’appuyer pour, à contrario, tenter de mettre en place des pratiques intéressantes permettant « d’approfondir l’exercice démocratique » ?

 

Déroulement de l’atelier

Co-animation : Christine Nedelec [présidente de FNE 75 -France Nature Environnement Paris- ] et J-Baptiste Jobard [coordinateur du CAC -Collectif des Associations Citoyennes-]

 

14h30 – conférence inaugurale de L’UNIVERSITÉ DES SAVOIRS ASSOCIATIFS avec JL Laville – Paris 3

 

Rencontre avec J-Louis Laville autour de son livre Réinventer l’association - contre la société du mépris (aux éditions Desclée de Brouwer).

 

Lieu : le CNAM (Conservatoire national des arts et métier) – 75003 Paris – Amphithéâtre Gaston Planté  (voir ICI l’accès N°35 par le 2 rue de Condé).

 

Contexte : Première séance de l’Université des savoirs associatifs qui proposera des rencontres régulières (tous les 2 mois) autour de l‘actualité bibliographique d’ouvrages traitant de l’évolution du monde associatif. Le format proposé systématiquement est une rencontre d’environ 2 heures avec 3 temps distincts : présentation du livre par l’auteur + échanges avec 3 discutant.e.s du secteur associatif + échanges avec la salle.

 

Déroulement de l’atelier :

Auteur : JL Laville (sociologue, professeur de la chaire économie solidaire du CNAM et chercheur associé au Collège d’études mondiales) ; animation JB Jobard (coordinateur du CAC).

 

3 discutants : Emmanuelle Bonnet-Oulaldj (FSGT –Fédération Sportive et Gymnique du Travail-), Romain Ladent (Boîte sans projet et CLAC 80 –Collectif des Asso citoyennes de la Somme-), et Lucie Lambert (Actes If & Ufisc -Union Fédérale d’Intervention des Structures Culturelles-).

14h30 ouverture accueil public

15h début de la séance

– introduction et contextualisation (5 min)

– présentation par Jean-Louis Laville du propos** qu’il développe dans son livre (20 à 30 min)

– 1er temps d’échange avec les 3 discutants (responsables associatifs exposant la manière dont ce propos fait écho à leurs propres pratiques et réflexions) (10 min chacun – 30 min pour la séquence)

– 2ème temps d’échange avec la salle (de 45 min à 1h15)

17h15 fin de la séance

 

Suivront : séance de signature et proposition les semaines suivantes d’un session d’arpentage (lecture collective de l’œuvre).

 

**Le phénomène associatif, malgré un indéniable renouveau, reste sous-estimé. Certains critiquent la précarité du travail en son sein. D’autres prétendent le moderniser sur le modèle de l’entreprise. Quant aux gouvernements, ils le rabattent trop souvent sur sa fonction réparatrice. Pourtant, il inclut une dimension transformatrice qui renvoie à un principe démocratique fondamental : l’associationnisme. Tout en analysant les indéniables ambiguïtés de ce mouvement, le livre montre l’existence d’un regain de l’associationnisme. Si nous en tenons compte, nous pouvons voir différemment les crises actuelles et inventer d’autres actions pour les surmonter.


 

 

     

 

A propos du Collectif des Associations Citoyennes


Le CAC est né en 2010 et se donne 3 principaux objectifs:

Lutter contre la marchandisation de l'action associative.

Permettre aux associations de participer à l'action publique.

Défendre la participation des associations à la construction d'une société solidaire, durable et participative.

 

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1 juillet 2019 1 01 /07 /juillet /2019 10:41
EDITONS SYLLEPSE JOURNAL 72 JUILLET 2019

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EDITONS SYLLEPSE JOURNAL 72 JUILLET 2019

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